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Les entreprises qui ont des entrepôts emploient généralement des opérateurs.
« Manutentionnaire cariste » ou « agent cariste », ou « magasinier cariste », tout cela signifie un employé indispensable dans les entreprises commerciales et industrielles, parce qu’il est celui qui gère la commande, la réception et l’expédition des bordereaux de marchandises au départ et à l’arrivée des camions.
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Il reçoit, enregistre, stocke, déplace et stocke des produits de différentes sortes (produits alimentaires, voitures, etc.).
Plan de l'article
Quelle formation et compétence pour être cariste ?
Comme tout métier, l’opérateur reçoit une formation, mais aucun diplôme n’est requis pour effectuer le négoce.
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Néanmoins, un certificat de sécurité (CACES) est essentiel.
Elle prouve que le travailleur en question a le contrôle de la manutention de l’équipement ou des autocars.
Cependant, avoir un diplôme (CAP, BEP, Bac pro) en entreposage ou en logistique et marketing serait un atout important.
Il devrait être organisé, précis, capable de faire le moindre centimètre pour stocker correctement les produits, travailler en équipe, connaître les règles de sécurité…
Combien gagne un cariste ?
La récompense est-elle compatible avec toutes ces tâches ?
Elle n’est pas toujours la même, mais a une moyenne.
En France, le salaire moyen des caristes est évalué au SMIC (salaire minimum de croissance), soit 1498, 5 euros par mois.
Il peut être jusqu’à 1800 euros, auxquels les bonus d’ancienneté, les primes d’heures supplémentaires, etc.
Le salaire de l’opérateur varie en fonction des différents critères
- Âge : l’âge minimum pour ce métier est de 19 ans et la catégorie d’âge de la plupart des exploitants varie de 45 à 50 ans.
- Sexe : Cette profession est beaucoup plus exercée par les hommes (93 %) que par les femmes (7 %) et l’appartenance au sexe faible est préjudiciable parce que les femmes être moins touchés.
- Le type de contrat : les opérateurs bénéficient souvent d’un contrat à durée indéterminée (CDI).
- ancienneté : c’est aussi un critère important pour établir un salaire. Une personne qui a 5 ans d’ancienneté ne peut recevoir qu’un revenu supérieur à celui qui n’en a qu’un.
- La taille de l’entreprise : le salaire des employés dépend également de la taille de l’entreprise. Plus elle emploie, plus elle fait de profit et mieux elle paie.
- Département ou pays : le salaire de l’exploitant dépend également du ministère ou du pays. Il est établi sur la base de l’offre et de la demande. En Espagne, par exemple, l’opérateur gagne un SMIC d’une valeur inférieure à 1000 euros par mois. Pourtant, il accomplit les mêmes tâches que celui qui travaille en France. Par conséquent, ce travail n’a pas de salaire, puisque ce dernier dépend de chaque entreprise et les compétences de l’employé.
Quelle est la différence entre un salaire en Suisse et un salaire en France ?
Le salaire Suisse est réputé pour être un salaire très élevé comparé à un salaire Français. Mais est-ce que tout cela est vrai. La réponse est OUI. Pour tout savoir sur les salaires en suisse. Il vous suffit de regarder la différence entre le SMIC Français qui est à 1550 euros brut environ et le salaire Suisse qui est à 3800 euros brut. Il y a donc une différence de plus de 2000 euros. Bien entendu, il faut aussi prendre en compte le coût de la vie. En Suisse, la vie est près de 2 fois plus chère qu’en France, d’où la différence de salaire.
Pour ce qui est du métier de cariste, vous avez vu que le salaire en France est de 1480 euros environ et peut monter jusqu’à 1800 euros, cependant en Suisse le salaire est situé entre 3640 euros et 5460 euros. Une énorme différence de montant qui pousse plus d’une personne à partir travailler dans ce pays transfrontalier. Si vous souhaitez devenir cariste en Suisse, vous devrez avoir le CASES. Il s’agit du même diplôme qu’en France, vous avez juste à le faire confirmer à l’administration Suisse.
